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Prix spécial de souscription. Sortie officielle le 9 juin 2023 !
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Détails du produit :
Artistes : Jean-Luc Ho, clavecin
Programme : Les Variations Goldberg BWV988 par Johann Sebastian Bach
Accès aux plates-formes de streaming.
Access to the English version.
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Johann Sebastian Bach Goldberg Variations - Aria |
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Johann Sebastian Bach Goldberg Variations - Variation 25 |
Dans la presse :
Coup de coeur "Ho excelle dans les pleins jeux, dans une ouverture à la française d'une manière admirable, dans un quodlibet sérieux et modeste, dans la puissante et tranquille variation vingt-neuf. Aucune virtuosité inutile ne vient troubler la visibilité des lignes dont les huit pieds dessinent délicatement la moindre inflexion. Plus proche de Verlet que de Staïer, le jeune artiste explore une dimension poétique nouvelle qui marquera durablement les mémoires." Philippe Ramin - Classica "Jean-Luc Ho donne une version d’ensemble, décline brillamment les contrepoints, met en évidence les suites de danse, fait chanter le clavecin, laisse la musique seule faire naître « la récréation de l’esprit » comme le souhaitait Bach lui-même. " Gérard Pangon - Musikzen
"Tout se déroule (...) avec fluidité, on oublie la prouesse technique pour se laisser entraîner par l’expressivité de l’interprète, jusqu’au Quodlibet final où Bach s’amuse à mêler à la basse originale deux chansons populaires comme si tout cela n’était qu’un jeu, une plaisanterie. A la reprise de l’Aria, notre écoute a changé, nous ne l’entendons plus comme la première fois, nous ne sommes plus les mêmes. " Cécile Glaenzer - ResMusica
"Dès l'Aria, avec ses irrégularités rythmiques subtiles, le ton est donné : il est préférables d'attendre de la délicatesse plutôt que des effets de manche pour goûter cette approche dans sa plénitude." Jean-François Pucek - Diapason
"A l’occasion de la sortie de son enregistrement des Variations Goldberg, de Johann Sebastian Bach, le claveciniste Jean-Luc Ho ravit le public sous les hautes voûtes de la Sainte Chapelle de Paris, les éléments s’y mêlant à la spiritualité de la musique et du lieu." Emmanuel Deroeux - Classykeo
"With this 87-minute recording of Bach’s Goldberg Variations, French harpsichordist, organist and pedagogue Jean-Luc Ho delivers one of the most interesting and perhaps idiosyncratic interpretations of this unique work, which has been experiencing a veritable resurgence in recent years." Rémy Franck - Pizzicato
"C’est un excellent enregistrement, du bon son, le contrepoint y est délié, avec une volonté expressive et de légèreté heureuse, qui modère les démonstrations virtuoses, dans une œuvre, où Johann Sebastian Bach, comme c’est souvent les cas, va au bout de ses explorations, les épuise même." Jean-Marc Warszawski- Musicologie.org
"Voici une magistrale interprétation des Variations Goldberg qui se veut proche de l'idée que pouvait s'en faire Bach. Jean-Luc Ho les joue au clavecin, sur un instrument, copie d'époque, d'une grande plastique sonore." Jean-Pierre Robert- ON-mag.fr
"Jean-Luc Ho nous en donne au clavecin une lecture brillante. Il sait fort bien se jouer de ces pages illustres qui font en permanence le grand écart entre la méditation la plus profonde et la joie la plus exubérante." Marc Laborde- Utmisol
"There are many high points, here are just a few. There’s a reassuring confidence to Var. 4. Var. 14 and Var. 29 display great technical command. I’m particularly enamoured by the relaxed serenity of Var. 15, whilst the following variation presents an elegantly paced French Overture. The trills of Var. 28 have an attractive bell-like quality. Var. 25, known as the ‘Black Pearl’ comes across as heartfelt and sincere, and there’s a determined feeling of joy in Var. 30 as one reaches the final destination. When the aria is reprised at the end, there’s an overwhelming sense of inevitability.
I found Ho’s performance of the Goldberg Variations very rewarding. He invests the music with real character and personality. It’s a beautifully sounding instrument and has been captured in first class sound." Stephen Greenbank - MusicWeb international
"Jean-Luc Ho e le Variazioni Goldberg, un programma che fa – è il caso di dirlo – drizzare le orecchie – ed un cd che si riceve (si accoglie) con avida curiosità. E la prima reazione, di banale stupore, è che di cd ce ne sono due. L’idea che le Variazioni Goldberg, questo magico continuum, vertiginosa ascensione di una montagna dai molteplici versanti, incredibile svilupparsi di una narrazione che sembra, nel suo evolvere, trasformare l’interprete (e chi le ascolta, al tempo stesso) sino al ripetersi, alla fine, dell’Aria iniziale che ci riconduce, ohimè, su terra, l’idea, dicevo, che le Variazioni possano essere tagliate in due non riusciva ad entrarmi nella testa." Ferruccio Nuzzo - GreyPanthers
Présentation :
Bach, âgé de 55 ans, fait paraître Clavier Übung se composant d’une ARIA avec diverses variations pour le clavecin à deux claviers en 1741.
De même que chercher quelque chose d’anglais dans les Suites Anglaises relève du non-sens, nommer l’œuvre les Variations Goldberg nous amène implicitement à nous demander si un adolescent de quatorze ans du nom de Johann Gottfried Goldberg est en mesure d’exécuter une partition si difficile. Cette dénomination consacrée de l’œuvre met le doigt sur sa difficulté technique(certes réelle mais qui ne définit pas la pièce) et la promet à une destinée légendaire, mythique, aux confins de la réalité.
En concert, les Variations se regardent autant qu’elles s'écoutent. Déploiement d’inventivité digitale, exploration virtuose des claviers sans cesse renouvelée, l’œuvre est défi pour les pianistes et clavecinistes, ravissement pour le spectateur. Bach utilise pour la première fois au clavecin de manière si affirmée, presque à l’extrême, ces croisements de mains, ces martèlements d’accords, ces glissades chromatiques, ces arpèges rapides, et explore comme jamais l’indépendance des claviers.
Il faut un sacré clavecin pour une telle pièce. Un vieux compagnon qui fait envie, qui répond à la gourmandise et alimente le jeu. Il y a dix ans, je me suis mis martel en tête à trouver « le » clavecin pour Bach. Disons que j'en ai rencontré les qualités nécessaires plus que l’instrument unique : équilibre, dynamique et plans sonores.
Le clavecin que je connais le mieux est un clavecin français deux claviers d’après Goujon, fait par le facteur Émile Jobin en 1983. Il est d’esthétique française et jamais Bach n’a entendu ni touché tel instrument. Mais ce clavecin est l’œuvre d’un facteur d’aujourd'hui qui a en tête l’orgue et le souci de la polyphonie. Un Français pas comme les autres, peut-on dire.
Jean-Luc Ho
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